Nous devons quitter avant novembre notre local de Montrouge, et donc retrouver une boîte à lettres et adresse, une pièce où installer notre secrétariat et/ou nos archives. Cela dans Paris ou la très proche banlieue, nos secrétaires bénévoles habitant la plupart dans la capitale.
C’est donc un appel au secours que je lance ici à tous nos lecteurs, auditeurs et amis. Parlez-en autour de vous, convainquez vos amis propriétaires de nous prêter ou louer ce local (avec boîte à lettres), qui risque de nous faire défaut alors qu’il est indispensable à la vie de l’association. Avant Montrouge, notre vice-présidente nous a longtemps loué une pièce de son appartement dans le XVe arrondissement (qu’elle a dû quitter) ; ce genre de cohabitation en bonne entente n’est-il plus possible ?
Merci à nos lecteurs de région parisienne qui auraient une ou plusieurs solutions à proposer.
Nul doute, cher lecteur, que la situation générale à vue humaine, ne laisse pas d’être préoccupante. Notre Sainte Mère l’Église n’échappe point hélas à ces désordres. Il n’est que de citer les calamiteuses déclarations de l’archevêque de Luxembourg ou de l’évêque d’Anvers, prônant la laïcisation de l’Église. Ou la bénédiction de pseudo-couples contre nature, le projet de lois visant à interdire le secret de la confession, à autoriser l’euthanasie, l’enseignement de la théorie du genre dans les écoles, etc.
La place me manquerait sur cette page si je devais poursuivre et développer avec le « chemin synodal » des évêques d’Allemagne ou encore les positions scandaleuses des cardinaux Cantalamessa ou Roche critiquant la condamnation des soi-disant (sic) modernistes par saint Pie X !
Fort heureusement, d’autres exemples nous montrent que la sainteté n’a pas quitté l’Église. Prenons pour l’illustrer, le rappel à Dieu le 14 mars dernier, à 48 ans, de l’abbé Cyril Gordien, curé discret de la paroisse Saint-Dominique à Paris. Son testament spirituel d’une trentaine de pages est à lire et à méditer. Il écrivait : « Je ne suis pas prêtre pour moi mais pour les âmes, pour leur salut. Quelle charge pèse sur mes épaules…Je médite avec humilité ces paroles du bon et saint Curé d’Ars. Elles m’aident à saisir la grandeur du sacerdoce qui ne m’appartient pas ». Ce qui est rassurant en ce temps de désolation spirituelle, c’est que plus d’un milliers de fidèles assistaient aux obsèques du saint curé et presque deux cents prêtres !
Et nous allons montrer, à Chartres, aux pieds de Notre-Dame, les 27, 28 et 29 mai, que les catholiques français « ne sont point légers, mais prompts », pour reprendre un mot de Péguy. Réservez au moins une de ces trois journées pour que cette Pentecôte soit une réclamation devant Dieu et devant les hommes !
Nous vous rappelons notre adresse postale (encore valide !) :Una Voce 45 avenue Aristide-Briand 92120 MONTROUGE Téléphone : 01 42 93 40 18 |
► Le maintien de nos activités ne peut être assuré que par des aides matérielles provenant de nos sympathisants car les pouvoirs publics ne montrent guère de générosité à notre égard !
N’hésitez pas à adhérer à l’association (10€), à vous abonner à la revue (35€), à faire un don déductible de vos impôts pour lequel vous recevrez une déduction fiscale), à faire vos achats de disques, CD… en ligne. Merci par avance !